Focus sur la e réputation des écoles de commerce en France. Un sujet bouillant où nous tentons d’apporter autant d’éléments de réponse en perçant le mystère qui se cache derrière ces entreprises privées. Car il faut le dire une grande majorité de ses établissements ont bien pignon sur rue. Et il suffit d’emprunter une rame de métro pour comprendre tout l’intérêt qui se cache derrière ses écoles payantes. Les affiches publicitaires vendent monts et merveilles à des étudiants souhaitant à tout prix booster leur carrière professionnelle.
Formation diplômante, cursus en alternance au cœur d’entreprise huppée, échanges internationaux sont autant de package que promettent ses institutions privées. Se présentant comme des impératrices pour le futur de vos enfants , nous avons voulu creuser pour savoir ce qu’elles ont réellement dans le ventre.
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E réputation des écoles de commerce : diplôme acheté ou véritable reconnaissance dans le monde du travail
Les écoles de commerce s’affichent souvent sous des appellations très alléchantes comme Business School ou proposent des titres honorifiques tels que Manager ou Bachelor. La question est de savoir si elles sont vraiment à la hauteur des espérances des parents et des étudiants. Voulant se présenter sur le web comme des accélérateurs de compétences, elles n’arrivent pourtant pas au soulier de HEC Paris qui forment les plus grands cadres et barons de la République.
Avec des sommes comprises à l’année entre 5000 et 10 000 euros, il est évident que tout le monde ne peut pas se le permettre. Du coup, visualisons au cœur de cet article ce que la Toile nous dévoile en coulisse.
Education : Des Sommes Astronomiques Pour Peu de Résultats
A notre grande surprise, nous remarquons après avoir feuilleté les fiches Google My Business d’une grande majorité d’écoles de commerce que la réputation numérique est belle et bien traficotée. Au cœur des grandes villes de France, il existe quelques pépites d’or qui sortent du lot.
En revanche, nous remarquons que l’identité numérique des écoles de commerces est très bien soignée. Présentes sur les réseaux sociaux tels que Linkedin, elles se présentent comme des instances motivantes chez qui il faut à tout prix s’inscrire pour réussir dans la vie.
En effet, n’oublions pas que la mention BAC+5 reconnue par l’État en commerce international fait très bonne impression sur un CV. Cependant, les commentaires négatifs présents chez notre ami Google démontrent une réelle déception de la part de beaucoup d’étudiants. Voici en l’occurrence des propos qui reviennent en boucle :
• Peu de notions apprises
• Professeur n’ayant pas les compétences requises
• Renvoie vers des tutos YouTube en période de Covid
• Aucuns débouchés réels à la sortie des études pour certains…
Malheureusement, ces hypothèses ont bien pu être vérifiées dans beaucoup de cas et ont tendance à traduire une réalité. Hormis, les privilégiés qui pourraient se permettre un cursus de 5 ans à plusieurs dizaines de milliers d’euros. L’image qui colle à la peau du bobo glandouillard toujours en costard et assistant assidument aux soirées d’intégration n’ait jamais bien loin.
Des cas de réussite triés sur le volet au cas par cas
Les commentaires positifs que nous avons pu relever traduisent quand même la réussite d’anciens élèves s’insérant sereinement dans le monde du travail. D’autres démontrent aussi avec ardeur et manipulation que les inscriptions se déroulent à merveille et méritent une note de 5 étoiles. Spécialistes de la e-réputation que nous sommes nous poussent à penser que trop de commentaires éblouissent faussement la notoriété des écoles de commerce.
Les témoignages successifs racontent comment un étudiant devient vite une fourmi dans la fourmilière une fois les frais de scolarité acquittés. Un commentaire assez dérisoire exprimant un ressenti commun a pu mettre en lumière le comportement de certains élèves situés au-dessus des autres :
Citation : « Tu as de l’argent ? Tu n’es pas intelligent et pourtant tu as un égo démesuré ? »
Cet état d’esprit en dit long sur une ambiance pesante qui règne dans beaucoup de ses établissements où des individus se comportent en business man sans aucune expérience. Alors finit la médisance et voyons réellement ce qui se cache derrière les écoles de commerce privées.
Un discours bien rôdé à la sortie post BAC
Bien évidemment, les écoles de commerce à caractère privé vendent du rêve à leur futur élèves. En se positionnant comme possesseur de l’avenir de beaucoup d’étudiants, elles vendent des carrières qui existent bien mais dont une petite poignée d’élus auront l’exclusivité en fin de parcours. Les chances de réussite existent bien à condition de payer et ne sont pas à la portée de tous. Car sans pratique certaine, les cours de micro ou macro-économie ne mèneront pas bien loin. A travers leur réputation numérique, c’est donc bien un chiffre d’affaires qui est en jeu.
Beaucoup d’élèves déçus parlent en effet de commerciaux déguisés derrière ces écoles. Nous remarquons que beaucoup d’écoles de commerce ont ouvert et fleurit comme des start-up. Ce sont-elles qui sont aujourd’hui pointées du doigts. Elles fondent leur prestige sur le stage de fin d’études ou l’alternance qui doivent être la porte de sortie vers votre prochain boulot. Manquant cruellement d’expérience professionnelle, beaucoup d’étudiants ont du mal à s’insérer directement dans le monde du travail et se retrouvent livrés à eux-mêmes à la fin du cursus.
Fuyez-les donc et tentez votre chance auprès des plus anciennes dans le système qui sont très sélectives.
Comprendre la philosophie numérique des meilleures écoles de commerce en France
Les meilleures écoles de commerce comme Sup De Co dispose d’un rayonnement à l’international immense sur les quatre continents. Il suffit juste de voir les étudiants à la sortie des cours pour comprendre le cadre international dans lequel elles gravitent. Étudiants mexicains, américains, chinois ou japonais coexistent aux côtés de nos chers étudiants français. Ce sont donc les coulisses de ses rares institutions que nous vous proposons d’aborder au cœur de cette seconde phase de développement.
L’école de commerce à caractère internationale : une réputation numérique indétrônable
Terre d’asile de privilégiés, les meilleures écoles de commerce françaises ont des accords internationaux avec leur équivalent dans d’autres villes étrangères. Leur succès tient sur plusieurs niveaux de compétences :
• Les partenariats signés avec les écoles de commerces étrangères et l’interchange
• Une totale maîtrise d’au moins deux langues étrangères par les étudiants (anglais, espagnol, chinois) et des cours dispensés exclusivement dans ces idiomes
• Un réseau d’anciens élèves présents dans des firmes multinationales facilitant l’intégration de nouveaux arrivant en fin d’études.
Cet aperçu démontre réellement les intérêts qui se cachent derrière ses institutions : la volonté d’avoir les meilleurs éléments en leur possession. Cette stratégie facilite le développement de la e-réputation de ses établissements qui sont très actives grâce à des départements numériques et des services à leur disposition.
Comment intégrer une école de commerce prestigieuse lorsque les moyens sont faibles
Les meilleurs écoles de commerce n’ont pas besoin de sortir à la pêche aux nouvelles recrues. Sélectives et rigoureuses, elles acceptent et retiennent les meilleurs dossiers. C’est d’ailleurs par ce procédé que les écoles prestigieuses en France comme HEC, Sciences Po Paris ou Polytechnique ont pu devenir des mines d’or où tout le monde veut accéder.
Du coup, le meilleur moyen pour trouver un excellent débouché à l’international pour un étudiant brillant consiste à décrocher un Master puis d’intégrer sur dossier le dernier échelon d’une école de commerce. Cette opportunité est effective sur dossier et l’étudiant n’a qu’une seule année à s’acquitter pécuniairement.
Généralement les étudiants ayant d’excellentes mentions dans des masters spécialisés tels que le Droit des Affaires, International ou les formations Sciences Po disposent d’acquis solides pour intégrer directement la dernière année et s’ouvrir les portes d’un réseau.
Car en dernier ressort, retenez bien en tête que la e-réputation d’une école de commerce repose sur le principe même du réseautage.